Les batteries à l’échelle du réseau dans l’ERCOT pourraient perdre leur capacité énergétique à un rythme médian de 7 % tous les 365 cycles. Cela pourrait indiquer que la dégradation des batteries se produit deux fois plus vite que prévu.
Plus une batterie se dégrade, moins elle est capable de stocker d’énergie – ce qui limite son activité sur le marché de gros de l’énergie. Cela réduit le potentiel de revenus générés par la batterie.
Pourquoi les batteries pourraient-elles se dégrader plus vite que prévu ? Et que peuvent apprendre les propriétaires et exploitants de ces constats ?
Cette analyse utilise des données publiques de l’ERCOT pour évaluer l’impact de la dégradation sur chaque batterie à l’échelle du réseau. Les données couvrent les opérations de janvier 2020 à juin 2025, pour les sites mis en service avant 2024.
Les abonnés Modo Energy peuvent lire l’analyse complète pour découvrir :
- Quelles batteries présentent des signes de dégradation plus élevée.
- Pourquoi ces actifs pourraient se dégrader plus rapidement que prévu.
- Et comment les propriétaires peuvent intégrer ces enseignements dans la modélisation de leurs propres sites.
Pour toute question concernant l’analyse, contactez l’auteur à ovais@modoenergy.com.
Pourquoi les batteries pourraient se dégrader deux fois plus vite que prévu
Les exportations d’énergie mesurées suggèrent que les batteries pourraient se dégrader à un rythme accéléré de 7 % tous les 365 cycles.